Vivre simplement ++++

Vivre simplement pour ne pas s'éparpiller,
pour retrouver l'essence de notre être.
Vivre simplement pour vivre abondamment.
Vivre simplement pour s'accomplir pleinement.

Notre époque est celle du clinquant, du brillant,
de l'excitation des sens.
Elle nous confronte sans cesse à une insatisfaction maladive.
Mais, d'où vient cette insatisfaction?
Pourquoi recherchez la satisfaction
dans une consommation excessive
qui nous laisse toujours sur notre faim?

Vivre simplement veut retrouver l'essence de ce qu'est vivre à la base de tout. Vivre sans artifice, d'une manière authentique et satisfaisante.
S’approprier sa vie
S’approprier sa vie.

Reprendre le gouvernail

De nos joies, de nos ambitions.

Mieux encore, de nos aspirations!

Suivre cette force qui monte en nous

Et nous guide sur les méandres de la vie.

Accepter les flots bouillonnants

Et les moments de tranquillité.

Ses vagues qui nous chahutent,

Et ses rapides qui nous épuisent.

La vie est mouvement

Et j’en fais partie!

Tous ces mouvements me guident

Vers plus grand que moi,

M’entraînent vers le meilleur en moi.

Chaque choix, même difficile,

Me propulse un peu plus en avant,

Au-delà de ce que je n’aurais pu espérer.

Ma vision est trop courte

Pour en percevoir tout le sens

Mais, ma vie a un sens!

Un sens qui s’inscrit

Dans la globalité de la vie.

Un sens qui tient compte

De ma liberté d’action.

J’en suis le maître

Et j’affronte à ma façon.

Car, il faut savoir se tenir

Sur sa barque!

Être solide quand il le faut.

Savoir se reposer quand il le faut.

Donner un coup de barre quand il le faut.

Je ne peux me laisser porter par le courant.

Ce serait refuser de prendre part à la vie.

Et si je le fais, je ne pourrai m’en plaindre.

J’aurai alors accepté de me laisser guider

Par la fatalité des événements.

Ma vie devient riche de sens

Dès l’instant où j’y prends part,

Dès l’instant où j’agis en communion

Avec ce flot vivant qui me pousse.

Ma vie n’est que l’énergie

Que je mets à vivre

Et à y prendre plaisir.



Éric Laliberté

la sources de ce post et plus encore

http://ericlaliberte.over-blog.com/


Malgré tout, et certainement grace à tout ça,

j'y trouve encore mille et un plaisir de vivre.

Elle se révèle autre, différente

mais combien enrichissante et épanouissante.

Ce regard approfondi,

c'est avec joie que je vous le partagerai!

Je poursuivrai donc mes réflexions sur la vie

et lirai avec grand plaisir les vôtres.



La vie est une aventure trépidante

à laquelle il faut savoir s'abandonner

pour savoir en profiter pleinement.



Comme je le disais à mes enfants:

Suivre sa voie
Demande de la volonté,
le désir de s’abandonner
à cette force qui agit en nous.
Une force qui cherche à tirer

le meilleur de nous-même.
S’y refuser, nous entraîne sur des voies sombres
Ou un mal-être persiste.

Choisir sa route
C’est commencer par reconnaître
Ce que l’on aime,
Ce qui nous fait du bien,
Ce qui nous fait grandir.



À bientôt!

Éric Laliberté

S’approprier sa vie S’approprier sa vie.

Reprendre le gouvernail

De nos joies, de nos ambitions.

Mieux encore, de nos aspirations!

Suivre cette force qui monte en nous

Et nous guide sur les méandres de la vie.

Accepter les flots bouillonnants

Et les moments de tranquillité.

Ses vagues qui nous chahutent,

Et ses rapides qui nous épuisent.

La vie est mouvement

Et j’en fais partie!

Tous ces mouvements me guident

Vers plus grand que moi,

M’entraînent vers le meilleur en moi.

Chaque choix, même difficile,

Me propulse un peu plus en avant,

Au-delà de ce que je n’aurais pu espérer.

Ma vision est trop courte

Pour en percevoir tout le sens

Mais, ma vie a un sens!

Un sens qui s’inscrit

Dans la globalité de la vie.

Un sens qui tient compte

De ma liberté d’action.

J’en suis le maître

Et j’affronte à ma façon.

Car, il faut savoir se tenir

Sur sa barque!

Être solide quand il le faut.

Savoir se reposer quand il le faut.

Donner un coup de barre quand il le faut.

Je ne peux me laisser porter par le courant.

Ce serait refuser de prendre part à la vie.

Et si je le fais, je ne pourrai m’en plaindre.

J’aurai alors accepté de me laisser guider

Par la fatalité des événements.

Ma vie devient riche de sens

Dès l’instant où j’y prends part,

Dès l’instant où j’agis en communion

Avec ce flot vivant qui me pousse.

Ma vie n’est que l’énergie

Que je mets à vivre

Et à y prendre plaisir.



Éric Laliberté

La simplicité
Conserver cette simplicité du cœur
qui ouvre sur l'essentiel.
Dire ce qui est vraiment.
Avoir la capacité de reconnaître et de nommer
ce qui m'habite en toute sincérité.
Sans détour, sans jugement, sans allégation,
j'apprends à être vraiment.

Je suis ce que je suis,
un être en mouvement,
un être en changement
et je me reçois avec bienveillance.
Dans cette simplicité,
j'ouvre mon cœur à celui qui s'approche
l'accueillant du même amour,
lui offrant, à lui aussi, la possibilité de se dire
la possibilité d'être différent.
Il est ce qu'il est...

Je donne et je reçois.
J'apprends et j'enseigne.
Je m'offre et j'accueille.
Tout bouge dans un même mouvement : celui du cœur.
Je ne m'embrouille pas en discours
qui cherchent à me donner raison.
Je ne me perds pas en orgueil
à défendre une image trop lourde à porter.
Je ne m'inquiète pas de ce que sera demain,
car aujourd'hui me satisfait.

« Simple de cœur, simple d'esprit! », dira-t-on.
Mais vaut-il mieux se torturer l'existence
de préoccupations abrutissantes
que de savourer pleinement chaque instant?
Qui se réjouit à chaque minute de se savoir vivant?

La simplicité se réjouit
de chaque minute de vie
qui lui est accordée.
Elle reconnaît la beauté,
le désir de grandir, en toute chose.
Elle ne se préoccupe pas,
n'échafaude pas,
ne se tourmente pas.
Elle fait confiance.
Elle ne se sent jamais lésée,
car elle n'a rien à perdre.
Tout lui est offert pour son plus grand bonheur.
C'est la recherche du superflu, de l'éphémère,
qui la rend malheureuse.
Combien de fois suis-je tenté
de me laisser prendre par cette inertie?
Combien de fois y ai-je succombé?
Demeurer dans la simplicité
ne me demande que d'être attentif
à la vie qui veut jaillir en moi.
Si j'éprouve un malaise, si je souffre,
c'est que je m'en éloigne.
Inutile de le faire taire en l'anesthésiant de mille présents!
Il reviendra me hanter jusqu'à ce que je le regarde vraiment.

Dans la simplicité rien n'a d'importance;
seul le vivant compte dans la conscience d'y appartenir.

Éric Laliberté