dimanche 9 novembre 2008
farine verte
autre séchage intéressant et important en autarcie... pour "arrondir les fins de mois", feuilles de guimauve, orties, consoude, bourrache, etc... etc... sont séchées en été, puis, par la suite (on peut faire çà progressivement et tranquillement en hiver), réduites en paillettes ou en poudre. les paillettes pourront servir à faire des soupes ou à être mélangées à des plats cuisinés, pâtés, galettes ; la poudre peut se mélanger aux farines pour les rallonger...
les malvacées (mauves, guimauves, rose trémière, hibiscus, etc..) ont l'avantage d'être épaississantes...
les orties sont très riches en protéines...
c'est une procédure que l'on aura intérêt à développer si la nécessité se faisait sentir : s'il y a des inquiétudes quant aux réserves hivernales, rien ne nous interdit de passer l'été à sécher de grandes quantités de toutes sortes de plantes sauvages comestibles.
la guimauve peut être entreposée dans la grange, avec le foin, en attendant son utilisation...
idem pour les feuilles de la renouée bistorte : j'en ai fauché tellement qu'il me suffit de la récupérer dans le foin de mon cheval :-)
les feuilles sèches (guimauve ici) peuvent aussi être stockées à l'intérieur, dans des sachets de papier kraft ou en tissu...
on peut cuisiner tout cela tel que ou cassé ou coupé, mais on peut aussi le réduire en paillette voire en farine... pour la réduction en paillettes ou en farine il faut passer rapidement au four pour rendre les feuilles très cassantes.
dimanche 9 novembre 2008
farine verte
autre séchage intéressant et important en autarcie... pour "arrondir les fins de mois", feuilles de guimauve, orties, consoude, bourrache, etc... etc... sont séchées en été, puis, par la suite (on peut faire çà progressivement et tranquillement en hiver), réduites en paillettes ou en poudre. les paillettes pourront servir à faire des soupes ou à être mélangées à des plats cuisinés, pâtés, galettes ; la poudre peut se mélanger aux farines pour les rallonger...
les malvacées (mauves, guimauves, rose trémière, hibiscus, etc..) ont l'avantage d'être épaississantes...
les orties sont très riches en protéines...
c'est une procédure que l'on aura intérêt à développer si la nécessité se faisait sentir : s'il y a des inquiétudes quant aux réserves hivernales, rien ne nous interdit de passer l'été à sécher de grandes quantités de toutes sortes de plantes sauvages comestibles.
la guimauve peut être entreposée dans la grange, avec le foin, en attendant son utilisation...
idem pour les feuilles de la renouée bistorte : j'en ai fauché tellement qu'il me suffit de la récupérer dans le foin de mon cheval :-)
les feuilles sèches (guimauve ici) peuvent aussi être stockées à l'intérieur, dans des sachets de papier kraft ou en tissu...
on peut cuisiner tout cela tel que ou cassé ou coupé, mais on peut aussi le réduire en paillette voire en farine... pour la réduction en paillettes ou en farine il faut passer rapidement au four pour rendre les feuilles très cassantes.
elles sont ensuite pilées dans un mortier strié en céramique :
(ici un suribachi japonais, çà marche bien mieux pour cette opération, qu'un mortier ordinaire)
dimanche 9 novembre 2008
farine verte
autre séchage intéressant et important en autarcie... pour "arrondir les fins de mois", feuilles de guimauve, orties, consoude, bourrache, etc... etc... sont séchées en été, puis, par la suite (on peut faire çà progressivement et tranquillement en hiver), réduites en paillettes ou en poudre. les paillettes pourront servir à faire des soupes ou à être mélangées à des plats cuisinés, pâtés, galettes ; la poudre peut se mélanger aux farines pour les rallonger...
les malvacées (mauves, guimauves, rose trémière, hibiscus, etc..) ont l'avantage d'être épaississantes...
les orties sont très riches en protéines...
c'est une procédure que l'on aura intérêt à développer si la nécessité se faisait sentir : s'il y a des inquiétudes quant aux réserves hivernales, rien ne nous interdit de passer l'été à sécher de grandes quantités de toutes sortes de plantes sauvages comestibles.
la guimauve peut être entreposée dans la grange, avec le foin, en attendant son utilisation...
idem pour les feuilles de la renouée bistorte : j'en ai fauché tellement qu'il me suffit de la récupérer dans le foin de mon cheval :-)
les feuilles sèches (guimauve ici) peuvent aussi être stockées à l'intérieur, dans des sachets de papier kraft ou en tissu...
on peut cuisiner tout cela tel que ou cassé ou coupé, mais on peut aussi le réduire en paillette voire en farine... pour la réduction en paillettes ou en farine il faut passer rapidement au four pour rendre les feuilles très cassantes.
elles sont ensuite pilées dans un mortier strié en céramique :
(ici un suribachi japonais, çà marche bien mieux pour cette opération, qu'un mortier ordinaire)
un dernier tamisage est facultatif : si l'on veut obtenir une farine très fine...
ont sèche n importe quoi.
sources=http://monotarcie.blogspot.com/2008/11/farine-verte.html