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bienvenue a tous parmi nous |
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| partage sur la simplicité | |
| | Auteur | Message |
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donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: partage sur la simplicité 28/4/2009, 6:18 pm | |
| bonsoir moi je vit de la simplicité volontaire depuis quelques année a 80% il a tellement de façons de la vivres alors il aura beaucoup de partage ses a suivre bonne soirée :) | |
| | | cuisinière assistant boss
Messages : 624 Date d'inscription : 30/04/2009 Age : 85 Localisation : Chaudière Apalache
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 30/4/2009, 7:48 am | |
| Bonjour Donalda . Félicitation pour ton site . Je viens te rendre une petite visite tout en venant chercher quelques uns de tes bons conseil . J'apprécie beaucoup tout ce que tu fais . Je t'ai toujours aimé sur P R même si à un moment donné il y a eu une contreverse . Bon succès dans ce nouveau projet :D | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 30/4/2009, 7:56 am | |
| bonjour a toi super contente bienvenue sur le forum merci a toi au plaisirs de partager a nouveaux :D - cuisinière a écrit:
- Bonjour Donalda . Félicitation pour ton site .
Je viens te rendre une petite visite tout en venant chercher quelques uns de tes bons conseil . J'apprécie beaucoup tout ce que tu fais . Je t'ai toujours aimé sur P R même si à un moment donné il y a eu une contreverse . Bon succès dans ce nouveau projet :D | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 30/4/2009, 5:52 pm | |
| LES FINANCES PERSONNELLES
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Par François Pelletier
L'argent est un sujet qui fait couler beaucoup d'encre. Nos vies sont pour la plupart occuppées à le gagner, le gérer et le dépenser. Pourtant, la gestion des finances personnelles n'est pas une matière enseignée à l'école. Nous apprenons donc, par nos erreurs, à éviter les pièges qui nous sont tendus et à faire des choix intelligents. Ne serait-il pas plus simple d'apprendre avant de faire des erreurs?
C'est dans ce but que cette section du site présentera des informations pertinentes concernant la gestion des finances personnelles. Notons que les conseils prodigués dans cette section viseront la prise en charge des individus, l'épargne systématique en vue d'acquérir une plus grande indépendance financière.
Vous aurez ainsi l'occasion d'examiner sous une lumière neuve, votre passé et vos habitudes financières.
Notons enfin que la simplicité volontaire n'entraîne pas un mépris de l'argent - bien au contraire. Elle prône une meilleure gestion et une meilleure utilisation de celui-ci, en plus d'encourager le partage et la générosité.
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| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 30/4/2009, 6:02 pm | |
| LE TRAVAIL
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Par François Pelletier
Comment vous sentez-vous quand vous revenez à la maison après le travail? Êtes-vous plein d'entrain et content de votre journée ou vidés et prêt à vous affaler dans votre fauteuil pour regarder la télé? Avez-vous le sentiment de vous réaliser par votre travail, ou plutôt de perdre votre vie à la gagner?
Plusieurs d'entre nous avons appris à nous identifier à notre travail. Quelqu'un qui veut apprendre à nous connaître nous poseras assurément la question: « Que faites-vous dans la vie? », à laquelle nous répondrons « Je suis ...(notre métier) ». Mais ne sommes-nous pas beaucoup plus que notre travail? Il est fascinant de constater que malgré que nous nous identifions à notre travail, ce dernier ne corresponde pas entièrement à ce que nous sommes ou à ce que nous voulons être. Nous nous sentons souvent stressés, privés de temps pour nous-même, notre famille et les projets qui nous tiennent vraiment à coeur.
La Société des Loisirs
Les développements de la technologie étaient censés nous permettre de travailler moins et de vivre plus. Qu'en est-il de cette société de loisirs qu'on nous avait promise?
Au lieu de profiter du gain de productivité des entreprises, nous nous retrouvons avec des semaines de travail plus longues, des journées plus chargées et un niveau de stress sans précédent. L'explosion de la consommation a propulsé la demande pour des biens et services de toutes sortes à niveaux inégalés. Les entreprises produisent de plus en plus, avec de moins en moins de personnel. La mondialisation de l'économie vient compliquer encore plus le portrait du monde du travail.
Nombreux sont ceux qui en ont assez, qui sont fatigués d'accomplir des tâches démotivantes, dans des milieux où ils sentent qu'ils ont peu d'importance. Nombreux aussi, sont ceux qui veulent reprendre en main le contrôle de leur temps, préserver leur santé mentale et physique, et être plus présent auprès de leur famille. Nous recherchons tous un travail qui nous satisfasse vraiment, qui soit en phase avec nos valeurs, nos intérêts, nos rêves. Un travail qui nous permette de nous exprimer, de créer, de communiquer, de nous sentir utile et d'accomplir quelque chose.
De nombreuses occasions de travailler répondent à ces critères. Certaines sont bénévoles ou ne paient pas assez. Très souvent, le salaire est une motivation suffisante pour choisir un travail que l'on aime pas. La réalité est telle qu'il nous faut gagner de l'argent pour nous procurer des biens et services qui répondent à nos besoins.
Que Faire, Alors?
Un nombre croissant d'individus commence à voir un lien entre la somme des besoins à combler, le genre et la durée du travail que l'on doit faire. Pour combler peu de besoins, il faut travailler moins longtemps, et un petit salaire suffit. Ceci permet donc une grande liberté, la liberté de travailler où l'on veut, quand on veut. Cela permet aussi, et ce sans changer d'emploi, de réduire la durée de la semaine de travail au niveau qui nous convient. Plusieurs autres alternatives au travail traditionnel tel que le télé-travail, les horaires variables et le travail partagé permettent déjà de rétablir l'harmonie travail/famille.
Le marché du travail est encore rébarbatif à ces alternatives et il sera nécessaire que s'opère à long terme un changement de mentalité qui les facilitera. Ce changement s'opérera grâce à des travailleurs audacieux, qui oseront redéfinir les conditions d'un monde du travail réellement enrichissant, qui réponde au vrais besoins de notre société.
Cette section du site explorera plusieurs alternatives à nos modes actuels de travail, et tentera de soutenir et informer tous ceux qui désirent vivre plus, en osant consommer et travailler moins.
-------------------------------------------------------------------------------- PARTAGER LE TRAVAIL ENTRE NOUS
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Par René Labelle
Devons-nous, pouvons-nous, voulons-nous créer de l'emploi et diminuer le chômage en partageant le temps de travail? C'est la triple question que je désire aborder avec vous.
La crise de l'emploi est devenue une caractéristique persistante de notre société. Certains nous annoncent que la reprise économique se fera sans reprise de l'emploi. Or, les souffrances et les inégalités causées par le chômage et la précarité du travail imposent de ne pas prendre pour acquis qu'il n'y a pas de place au travail que pour certains et que c'est tant pis pour les autres et leur dignité. Dans le manifeste « Sortons le Québec de l'appauvrissement, mars 1994 » on privilégie le partage du temps de travail comme une voie de solution parmi d'autres à ces inégalités. C'est ce que je veux approfondir ici.
Les différences qui nous éloignent les uns des autres
Le partage du travail se pose à chaque personne de façon radicalement différente selon sa propre situation personnelle. En effet, nous vivons entre nous des inégalités. D'une certaine façon, c'est malgré nous mais aussi par nous qu'elles se créent et se perpétuent.
Pour aller plus loin...discutons-en ensemble...
Travaillons-nous? Pourquoi? Pour qui? Dans quelles conditions? À quel rythme et à quel salaire?
Combien de personnes composent notre unité de vie? D'où et de qui proviennent l'ensemble des revenus de notre ménage?
A quelle distance du seuil de pauvreté se situe notre niveau de vie?
Sur le plan du travail et de la richesse, avec qui vivons-nous des situations d'égalité dans notre milieu? Par rapport à qui vivons-nous des situations d'inégalités?
Certains et certaines d'entre nous ont un travail stable, correctement rémunéré, qui les place en position de pouvoir partager. D'autres vivent plutôt le manque, n'ayant pas de travail, ou exerçant un travail précaire, peu rémunéré. D'autres encore sont en mesure de créer, maintenir, décider ou gérer les conditions et l'environnement de leur travail. Ces différences entre nous sont en train de s'accentuer. Ainsi, au cours des années 1990, 20% des plus riches parmi nous ont accaparé 90% de l'accroissement du revenu moyen.
Or, il se pourrait que cette dérive qui nous éloigne les uns des autres ne soit pas que l'effet d'une crise, mais aussi d'une mutation majeure du monde du travail, liée entre autres à la mondialisation des échanges économiques et à l'usage répandu des technologies informatiques. Nous sommes dans une étape qui exige, dans un esprit de démocratie économique et de développement solidaire, que l'on tienne compte des aspirations, des besoins et de la réalité de l'ensemble des personnes. Il nous importe de ne jamais admettre que la richesse des uns se construise sur l'exclusion des autres.
Si nous voulons aller au-delà d'une pitié condescendance de ceux et celles qui possèdent envers ceux et celles qui ne possèdent pas, il nous faudra envisager le partage du temps de travail comme un projet collectif, en considérant les visions et les solutions des personnes sans emploi autant que celles des personnes qui sont en mesure de partager ou d'organiser le partage.
-LE TRAVAIL, L'ÉCONOMIE ET NOUS
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Par René Labelle
Avant de parler de partage du temps de travail, rappelons que dans notre société, c'est l'emploi salarié qui s'est imposé comme norme afin d'assurer la subsistance. Des personnes tirent ainsi le revenu nécessaire à la vie d'un ménage dans le cadre d'un emploi, où elles exercent un travail, pendant un certain temps, à un certain salaire. Tant que l'emploi était disponible en quantité suffisante, on s'est contenté d'aménager parallèlement des formes de sécurité du revenu plus ou moins généreuses comme l'assurance-chômage et l'aide-sociale pour permettre aux ménages de subsister dans les cas marginaux où l'accès à l'emploi était perdu, temporairement ou durablement.
Actuellement, les entreprises sont confrontées à une concurrence internationale débridée, où la course à des niveaux élevés de productivité passe par les réductions d'effectifs. Leurs ressources financières sont également mobilisées vers l'investissement dans la productivité, condition essentielle pour demeurer dans la course. Résultat : il n'y a pas nécessairement de lien entre la croissance économique et le développement de l'emploi. Les firmes qui, simultanément, annoncent de bonnes performances financières et des licenciements de personnel en sont une illustration.
Le travail sans les travailleurs et l'économie sans les personnes deviennent une norme. Le danger de cette formule est de ne pas envisager la réalisation du potentiel humain dans l'économie. Cette façon de penser, parfois rentable à court terme, ne peut conduire, à long terme, qu'à un dépérissement des collectivités et à une détérioration du climat social, bien plus coûteux à long terme.
Cette situation nouvelle appelle des moyens nouveaux, dont le PARTAGE DU TRAVAIL. En effet, les moyens traditionnels, où on fait varier les taux d'intérêt ou le niveau des dépenses gouvernementales ne suffisent plus à rétablir une situation se rapprochant du plein emploi.
Tout souhaitable qu'il soit, le PARTAGE DU TRAVAIL ne remplace pas l'objectif premier qui demeure le plein emploi. Si la diminution du temps de travail a pour conséquence la réduction globale de la masse salariale, ou la réduction du cercle des personnes sur lesquelles se répartit cette masse, elle ne remplit plus alors un objectif de partage. Au contraire, LE PARTAGE DU TEMPS DE TRAVAIL vise à ce que le revenu global disponible et l'enrichissement collectif soient distribués plus justement sur un grand nombre de personnes.
La réalité de l'emploi est complexe et variable selon les circonstances. Elle invite à aborder la question du PARTAGE DU TEMPS DE TRAVAIL avec humilité, écoute et prudence. C'est à nous qu'il revient d'entendre les appels, d'analyser attentivement les situations concrètes à la lumière de ce en quoi nous croyons, pour déterminer ensuite des voies d'action réellement libérantes.
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| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 30/4/2009, 6:05 pm | |
| LE TEMPS
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Par François Privé
Le temps a ceci de particulier qu'il est limité. Chaque être humain sur cette planète dispose de 168 heures par semaine pour accomplir l'ensemble de ses activités. Il s'ensuit donc la constation suivante : le temps est une denrée précieuse.
Une des raisons qui pousse nombre de personnes à simplifier leur vie est cette volonté de récupérer une partie de ce temps, pour ensuite l'utiliser à des activités qui leur importent vraiment.
Voici comment j'explique cette motivation :
Plus de temps pour la famille
Inutile de fouiller de long en large dans les bibliothèques de psychologie pour prendre conscience du fait que les enfants, pour bien se développer, besoin de la présence aimante et attentive de leurs parents. De très nombreuses pathologies psychologiques sont reliées à l'absence de l'un ou des deux parents auprès de l'enfant ou encore au manque d'affection en général. De nombreux articles sur le site internet de Psychomédia traitent de plusieurs de ces conséquences tristes de l'absence des parents. On y accèdera en effectuant un recherche sur les thèmes « absence parentale » et « présence parentale »...
Et le plus fou, c'est que si les parents passent autant de temps au travail, loin de leurs enfants, et donc aussi à décompresser comme des zombies en maugréant contre les enfants qui jouent, c'est souvent pour s'assurer que leurs enfants ne manqueront de rien...
Or ce dont ils ont surtout besoin, c'est de leurs parents pour les aimer, les soutenir, les guider, et pour jouer. En adoptant un mode de vie qui coûte 20% moins cher, on peut travailler 20% moins souvent, et passer une part du temps ainsi économisé à sourire et à déclarer son amour à ses enfants plutôt qu'à son patron.
Plus de temps pour les loisirs
En consacrant moins de temps à gagner, à gérer ou à eacute;penser de l'argent, on peut en passer plus à accomplir les activités auxquelles on croit, ou dans les loisirs créateurs qui nous permettent de nous dépasser nous même.
En guise de loisir, bien des Nord Américains se contentent de passer leur peu de temps libre devant la télévision, à gober des publicité dont l'objectif principal est de nous convaincre que nous sommes malheureux, et que le chemin du bonheur se trouve dans quelques achats stupides. Comment se surprendre d'un tel tableau lorsqu'on observe la quantité d'énergie gaspillée pour gagner toujours plus d'argent. Vidé de ses forces, le travailleur s'affale dans son fauteuil, repousse les demandes de ses enfants qui veulent jouer dehors, et leur achète à grand prix des appareils de jeux vidéo qui les occuperont, lui permettant de mieux recharger ses pauvres batteries usées à servir un patron ingrat. Et à force de troquer les sports d'extérieur contre des jeux vidéos, ses enfants deviendront des patates de sofa, et développeront toutes sortes de maladies civilisationnelles reliées à la sédentarité comme on le voit si bien aux USA, où les taux d'obésité infantile ne cessent de grimper.
Au lieu de cela, l'adepte de la simplicité volontaire limitera ses besoins matériels à l'essentiel, de manière à limiter ses besoins d'argent et donc à moins travailler, gardant toujours suffisamment de temps pour tout ce qui compte vraiment autour de lui : sa famille, ses amis, des loisirs créateurs dont il sera fier, le sport qui le maintiendra en santé, etc...
Reproduit avec permission de l'auteur | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 8/5/2009, 6:00 pm | |
| En effet, pour tous les supporters de l’économie de marché, de la société de surconsommation dont nous nous glorifions, ce qui arrive est une nouvelle terrifiante : notre monde s’écroule. Notre endettement nous étouffera; notre mode de vie à l’américaine s’écroulera. Mais tout est question de perspective! Pour ces milliards d’affamés de la planète, pour ceux et celles qui sont sans pays, sans terre, sans logis, sans travail, sans eau, sans santé, sans liberté, sans droits, sans etc., pour cette immense majorité d’êtres humains exclus de la table de l’humanité et qui voient sur les écrans du monde une minorité s’empiffrer et s’enrichir à leurs dépens, cette crise pourrait être une bonne nouvelle. Mais nous aurons besoin de sagesse, d’hommes et de femmes sages, de gouvernants et de rois sages, qui guidés par l’étoile de l’espoir, marcheront à tâtons dans la bonne direction. Ils arriveront après une longue marche à la maison d’un enfant pauvre, ils y entreront avec respect et vénération, ils se prosterneront devant ce tout-petit et ils ouvriront leurs trésors. Voilà le miracle de Noël. Quand verrons-nous les dirigeants de nos économies et de nos États se tourner vers les plus petits et reconnaître leurs caractère sacré? Quand verrons-nous les pays riches ainsi que les riches des pays pauvres ouvrir leurs trésors et les répartir pour les besoins primaires de leurs frères et sœurs en humanité? Quand vivrons-nous une campagne électorale où les partis rivaliseront de créativité pour éliminer la pauvreté et dont le slogan sera « Les personnes d’abord »? La période qui commence nous obligera à la simplicité de vie, une simplicité volontaire, qui nous rendra libres, moins individualistes. Nous devrons nous serrer les coudes, redécouvrir notre solidarité sociale, rebâtir des liens d’entraide et de support mutuels. Le Sauveur de Noël ne promet pas de sauver les tours de la finance, de venir au secours des banques prédatrices; il invite tous les humains à tout simplement redécouvrir leur humanitude et leur solidarité. http://ofs-de-sherbrooke.over-blog.com/article-26091330.html | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 11/5/2009, 8:06 pm | |
| http://www.moins-depenser.com/echantillon/ | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 11/5/2009, 8:08 pm | |
| -------------------------------------------------------------------------------- http://www.adaqnet.org/capsules/capsule_6.html
pour les dates aliments
http://www.protegez-vous.ca...alimentation.html | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 11/5/2009, 8:10 pm | |
| Voici un moyen simple pour acheter des légumes moins chers tout au long de l'année.
Il existe partout en France de petits producteurs qui proposent différents moyens pour que vous puissiez acheter des légumes de saison à un prix abordable.
Deux solutions:
*Certains maraichers proposent des paniers de légumes. Pour cela ils imposent un abonnement annuel et régulièrement vous allez chercher votre panier de fruits et légumes à la ferme. Le problème c'est que vous ne choisissez pas les légumes que composent le panier, mais vous avez des légumes frais tout au long de l'année et c'est vraiment moins cher.
*Certains producteurs proposent eux que vous veniez directement cueillir les légumes dans leur champ. Vous y allez en famille avec vos sacs et dans le champ vous récoltez les produits qui vous intéresse. Ensuite, vous payez ce que vous avez choisis !
Pour finir, voici une solution vraiment simple pour obtenir des légumes gratuits ! Pensez à les glaner !
Glaner qu'est ce que c'est ? C'est simple quand l'agriculteur récolte son champ de pomme de terre par exemple, il y a toujours des petites pomme de terre qui ne sont pas ramassé par la machine. Le fermier lui ne prendra pas la peine de les ramasser, c'est pourquoi il accepte que les gens viennent dans son champ après la récolte pour ramasser les dernières pomme de terre qui reste.
Voilà un moyen de ramasser plusieurs kilos de pomme de terre sans rien payer. Juste un peu de sueur pour les avoir ramassées !
moi je le fait ca se conserve bien | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Les Clés Maîtresses 14/5/2009, 4:03 pm | |
| Les Clés Maîtresses
La simplicité volontaire... n'a de sens que si elle rend heureux...
1-Distinguer "désir et besoin"
Distinguer besoin et désir, c'est identifier l'essentiel et l'accessoire.
Nos désirs sont illimités. Ils sont multipliés et stimulés par la mode et la publicité pour faire tourner la roue de la consommation et engranger les profits. Nos besoins sont limités, mais très souvent perdus de vue dans de tourbillon de la société marchande.
"Nos besoins changent, évoluent. À certains moments de vie, tel besoin est prioritaire, ce qui n'est pas vrai dix ans plus tard. Il faut donc apprendre à écouter, à s'arrêter, à ressentir, à réfléchir. Les besoins humains sont les suivants:
-besoins biologiques (se nourrir, s'abriter, se vêtir, se protèger, se reproduire) -besoins relationnels (aimer et être aimé, se sentir connecté aux autres, échanger, partager) -besoin d'apprendre (croissance, se nourrir l'esprit...) -besoin de donner un sens à sa vie -besoin de jouer, rire se détendre... Souvent répondre à ces besoins ne nécessite pas forcément énormément d'argent." (Robert Béliveau)
Et vous...
À ce stade-ci, sur quels désirs voulez-vous agir?
À ce stade-ci, à quels désirs continuez-vous de dire "OUI"?
2- Identifier le "avoir assez"?
Définir "assez" implique nécessairement la définition de la notion jumelle de "superflu". "Le superflu peut être défini comme toute chose qui n'a pas d'utilité, de rôle ou de fonction significative dans notre vie, mais qui occupe ou encombre notre espace physique ou mental." La définition de "avoir assez" est nécessairement sujective. Elle varie d'une culture à l'autre, d'une classe sociale à l'autre et pourra même changer chez un même individu en fonction de son évolution... (Pradervand)
Assez peut signifier éviter l'excès. Le gaspillage ne réside pas dans l'abondance des possessions, mais dans le fait de ne pas en jouir. Avoir assez ne signifie pas avoir la quantité minimum pour survivre, c'est la quantité exacte de ce qui vous donne une réelle satisfaction sans excès. (Dominguez et Robins) | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 19/5/2009, 8:11 am | |
| La simplicité volontaire, la prochaine tendance à la mode ? Atelier sur la simplicité volontaire tenu à Château-Richer au Québec (www.archeecologique.org)« Vivre mieux avec moins, respecter mieux la Terre et tous ses habitants, se libérer du temps et de l’espace pour vivre dans la sobriété matérielle et la convivialité » . Conscient des conséquences nuisibles de leur mode de vie sur l’homme et la nature, des milliers de volontaires à travers le monde occidental ont entrepris de retrousser leurs manches pour tenter d’inverser la tendance en cours.
Olivier De Keyser
Être riche et célèbre, l’idéal de vie en vogue en ce moment à en croire l’audience des émissions T.V. populaires est-il prêt à être détrôné ? La démesure va-t-elle faire place à la mesure ? On n’en est peut-être pas encore là, mais la volonté de revenir à un mode de vie plus sobre fait son chemin dans la tête d’un nombre de plus en plus important d’occidentaux.
Parti du Nord de l’Amérique (Canada), le mouvement dit de "Simplicité volontaire" vise, comme son nom l’indique, à promouvoir la simplification de notre mode de vie et à donner les moyens nécessaires (conseils, publications, colloques etc.) à qui veut mettre le pied à l’étrier. Ce mouvement s’est développé en réseau grâce à l’implication de bénévole et de ses membres au sein des groupes régionaux et de divers comités.
Selon Mark Burch, auteur de « La voie de la simplicité, pour soi et la planète », « la simplicité volontaire est en fait la recherche d’un mode de vie propice à l’amour et à l’épanouissement de la vie ». De la gestion du budget jusqu’à la spiritualité, en passant par l’alimentation et la vie de famille, la simplicité volontaire veut donner un éclairage innovant sur tous les aspects de la vie.
Vivre sobrement, si compliqué que ça ? Vivre simplement, est-ce si difficile ? Pourquoi se mettre dans un groupe pour apprendre à vivre plus sobrement ? N’y a t-il déjà pas assez de groupe comme ça, est-on en droit de se demander. La réponse semble être « non », tant le mouvement rencontre du succès. Celui-ci a même fait des émules de ce côté-ci de l’Atlantique. Plusieurs européens ont déjà décidé d’ouvrir un groupe calqué sur le modèle Nord-américain.
Comme ces six habitants du département de la Seine et Marne (France) qui ont décidé de fonder un groupe en décembre 2003 : « pour être actifs et représentatifs, nous avons choisi de créer une association loi 1901 que nous avons appelée Tout simplement » est-il écrit sur le forum du site original du mouvement. En fait, ce que les adhérents recherchent principalement à travers leur adhésion à un réseau, c’est un soutien moral, condition nécessaire à la mise en application de leurs bonnes résolutions.
Car la tâche est rude. Les séductions émanant de la société de consommation sont omniprésentes et tentent à tous moments de nous ramener dans le droit chemin de la croissance. D’ailleurs en France un mouvement qui se fait appelé mouvement pour la décroissance soutenable dénonce les méfaits de l’idéologie de la croissance tout en prônant le retour vers une « sobriété heureuse ».
Origines lointaines Cette tendance à un retour vers une vie plus simple ne date évidemment pas d’hier. Il suffit de penser à tous les groupes religieux tels que celui des Franciscains, lié à François d’Assise (et même avant : la secte des esséniens, du côté oriental : à l’hindouisme et au bouddhisme, pour s’en rendre compte. Mais plus récemment des penseurs comme Yvan Illich ou Jacques Ellul ont servi d’inspiration pour fonder ces mouvements.
Pour Illich, le système capitaliste est conçu de telle manière qu’il asservit la population plus qu’il ne la libère. L’attachement excessif aux valeurs matérielles ne fait qu’éloigner l’homme de lui-même. Il le réduit à sa fonction de producteur-consommateur, sa fonction économique, au détriment des aspects sociaux, culturels, familiaux, citoyens, spirituels, biologiques, affectifs. En guise de solution Illich préconise de « passer de la productivité à la convivialité » pour ainsi « substituer à une valeur technique une valeur éthique, à une valeur matérialisée une valeur réalisée » (extrait de « La convivialité », 1973, p.26-28).
Une autre source d’inspiration et de motivation provient des études récentes rendant compte de l’accroissement de l’impact négatif de l’homme sur la nature. Ainsi la simplicité volontaire (comme la décroissance) se propose de répondre à deux préoccupations très contemporaines : le retour vers une plus grande harmonie avec soi-même et avec la nature.
Le progrès mis sur la sellette En fait ce qu’on remarque, à travers le succès rencontré par ces mouvements, c’est la perte de confiance de la part des citoyens dans le développement par le progrès. Un nombre grandissant de citoyens sont persuadés que ce dernier est incapable d’apporter les solutions aux problèmes engendrés par la modernité. Un volontaire exprime le cercle vicieux engendré par la dépendance à la voiture en des termes très simples. Selon lui, « plus de voitures = plus de bruit, plus de fatigue nerveuse = consommation de produits enrichis en vitamines, achat d’une maison éloignée du centre-ville = plus grande dépendance à la voiture, etc... »
Les solutions avancées par ces détracteurs du matérialisme et du progrès tiennent en un ensemble de recettes à appliquer dans la vie de tous les jours. Se lancer des défis comme par exemple : prendre systématiquement le vélo ou les transports en communs pour se déplacer, ou encore, consommer des pommes issues de la production locale plutôt que des kiwis importés en avion de Nouvelle-Zélande. Parallèlement, des campagnes visant à encourager le grand public à passer une journée sans achat ou une semaine sans télé sont menées.
Sources : - KIRSCHNER Josef, “Vivre heureux avec le strict nécessaire”, éd. Le jour, 1983. - BURCH, Mark A. : La voie de la simplicité, pour soi et la planète. Éditions Écosociété, Montréal, 2003, 240 p. - CLÉMENTIN B., CHEYNET V. et alii., « Objectif décroissance », éd. Parangon, Paris, 2003 - Site www.simplicitevolontaire.org
Trouver des trucs pour vous aider à vivre plus simplement sur www.equiterre.org/12gestes/index.html | |
| | | djmaminou assistant boss
Messages : 829 Date d'inscription : 15/05/2009 Localisation : Nogaro(circuit de courses) France
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 3/6/2009, 2:14 am | |
| Plein de bonnes idées et de liens à visiter. | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 3/6/2009, 6:45 am | |
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| | | djmaminou assistant boss
Messages : 829 Date d'inscription : 15/05/2009 Localisation : Nogaro(circuit de courses) France
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 5/6/2009, 9:35 am | |
| moi je suis loin de ton score mais je fais des progrès. | |
| | | djmaminou assistant boss
Messages : 829 Date d'inscription : 15/05/2009 Localisation : Nogaro(circuit de courses) France
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 5/6/2009, 9:37 am | |
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| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Et si vous étiez en vacances 365 jours par année ? 22/6/2009, 6:37 pm | |
| a lire
Et si vous étiez en vacances 365 jours par année ?
Ce livre, « Et si vous étiez en vacances 365 jours par année ? », écrit par mon amie Hélène Turmel, récemment publié par Béliveau éditeur et dont j’ai écrit la préface, est un mode d’emploi pour installer dans votre esprit le calme et la détente. Vous savez, ce bien-être que vous ressentez quand vous êtes en vacances. Que souvent vous ne ressentez que lorsque vous êtes en vacances. Pourquoi ne pas le ramener dans vos bagages et en faire votre quotidien ? Vous allez me dire que vous ne saviez pas que c’était possible et que vous n’avez aucune idée de la marche à suivre : eh bien, ce ne sont plus des excuses : le livre d’Hélène va vous instruire !
Certains disent que le bonheur n’est pas un objectif mais un moyen. En tous cas, c’est l’objectif de tous mes clients et ils s’en donnent les moyens ! Parce qu’ils croient profondément qu’il est possible de ressentir le plus souvent et le plus longtemps possible une paix intérieure : une plage de douceur, un océan de bien-être, que quelques émotions négatives, tels des orages tropicaux, viennent parfois déranger. Le livre d’Hélène vous enseignera à chasser ses nuages et à protéger vos rivages sereins, grâce à de nombreux trucs, tous plus faciles à appliquer les uns que les autres. Souvent, vous me demandez comment faire pour chasser les émotions négatives : je vous livre les grandes lignes, la vison et la philosophie. Ce livre vous parle de quotidien, de gestes à poser, de pensées (positives !) à entretenir, de petits détails qu’il faut soigner. L’auteure a fait un travail de fourmis en répertoriant tout ce qui fait sa vie et son bonheur. Parce qu’Hélène est une femme heureuse et elle pense ce qu’elle dit et ce qu’elle fait. Elle applique à la lettre tout ce qu’elle vous enseigne, ainsi que je le fais moi-même.
« Et si vous étiez en vacances 365 jours par année ? » vous donne 17 trucs pour y arriver : vous n’aurez plus qu’à choisir ceux qui sont faits à votre main, qui vous iront comme un gant, qui vous paraissent pertinents dans votre quotidien. Pas besoin de tous les appliquer : faites votre marché ! Il s’agit d’un mode de vie dont vous prélèverez des morceaux pour ajouter au vôtre et l’améliorer. Pour être en vacances tous les jours, la bonne idée est d’apprendre à vous libérer de chaque croyance limitante qui se rappelle à votre mauvais souvenir, de comprendre et régler les peurs et les frustrations qui frappent à votre porte et, surtout, profiter de ce que vous avez déjà acquis au lieu de pleurnicher après ce que vous n’avez pas encore : profiter du moment présent ! Eh oui, encore lui ! Vous en parlez, vous en entendez parler, mais pour le pratiquer, c’est une autre paire de manches ! Entendons-nous bien : Hélène et moi n’avons rien de moines Tibétains. Nous sommes deux épicuriennes, aimant les plaisirs de la vie et fermement décidées à continuer longtemps à en profiter !
Pour ce faire, mettez-vous dans le plaisir de respirer, de voir, d’entendre et d’être en bonne santé, ce que d’autres n’ont plus. Puis voyez ce que vous faites de ces capacités dont vous n’avez même plus conscience. Vivre l’instant présent, c’est s’arrêter dans sa course folle après le temps, l’argent, la reconnaissance, l’affection et bien d’autres choses. Comme dans les dessins animés : imaginez que vous stoppez l’image et que vous passez au ralenti, comme Vil Coyote quand il tombe dans un gouffre et qu’il reste en suspend le temps de réaliser qu’il tombe dans le vide. Vous n’êtes pas le vide : vous avez tant de belles choses qui vous entourent, de bonnes personnes qui vous aiment, de beaux projets, de beaux acquis. Mais vous vous torturez pour en avoir plus ou, pire, par peur de tout perdre ! L’Avare de Molières est anxieux parce qu’il a de l’argent (ma cassette !) mais il a peur qu’on le dépouille. Vous avez une belle voiture, mais vous avez peur qu’on vous la vole, une belle maison mais le cambriolage vous effraie, un beau conjoint mais vous avez peur qu’une plus belle que vous l’embarque, etc. ! Bref, vous n’en profitez pas.
Chaque jour, je regarde ma fille comme si je la découvrais, je regarde l’endroit où je vis comme si je le voyais pour la première fois, je me couche en pensant chaque soir que je suis dans un lit douillet, j’ai un toit, le ventre plein et ma fille et moi sommes en bonne santé. Je me retourne aussi pour voir tout ce que j’ai accompli et ça me donne la force pour tout ce que j’ai à accomplir. Prenez le temps de vous poser deux minutes et de faire le tour de vos acquis, d’être fier de ce que vous avez accompli, de réaliser tout ce que vous avez construit, toutes les responsabilités que vous avez été capable d’assumer. Observez votre vie, tout ce qui vous entoure, tout ce que vous avez et jouissez-en comme si vous les découvriez pour la première fois. Vous traversez votre vie à la vitesse de Bip Bip, sauf que vous n’avez pas à fuir Vil Coyote. Une chanson de Johnny Hallyday a pour titre « J’ai oublié de vivre » : réalisez-vous que vous passez à côté de tout ? Prenez le temps, pour avoir du plaisir, de goûter, savourer, déguster, que ça vous traverse le corps, ressentir, jouir ! Depuis quand n’avez-vous pas ressenti ce bien-être, ce ravissement d’être en vie, tout simplement.
Chacun est responsable de sa vie. Vous avez le droit de bousiller la vôtre, d’accumuler les regrets et les frustrations qui pèsent de plus en plus dans votre brouette, mais vous ne pourrez plus dire que le bonheur n’existe pas ou que vous ne savez pas comment y accéder. Hélène et moi nous le vivons et nous vous éclairons la route : nous sommes en vacances parce que nous l’avons décidé. Quand Renée Langlois, animatrice du CKMN 96.5 à Rimouski, m’a demandé quand je souhaitais être en vacances, puisque qu’elle m’accueille tous les mercredis matin à 10h45 dans son émission « Les petits plaisirs », je lui ai répondu en riant que j’étais toujours en vacances, parce que je n’ai plus du tout l’impression de travail. Je ne fais que ce qui me fait plaisir ! J’ai eu tellement de jobs que j’ai détestés, que je suis capable aujourd’hui d’apprécier la liberté que je me suis offerte. La liberté d’être en vacances 365 jours par an et de ne faire que ce qui me plaît. Alors, que dites-vous d’emmener vos vacances dans votre quotidien au lieu d’emmener vos problèmes sur votre lieu de vacances ?!
Conférence le 16 juin 2009 à 18h00 « Faites-vous une belle vie ! » avec Hélène Turmel et Pascale Piquet – Atwater Library – métro Atwater – 1200 avenue Atwater – Westmont – Tous les détails et inscriptions sur le site : http://pascalepiquet.com/salons-conferences.php
Profil de l'auteur Pascale Piquet Site Web : www.pascalepiquet.com | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 23/6/2009, 5:27 pm | |
| bonsoir a tous la simplicité volontaire pour moi apporte :D :brocoli: :yes haha: :bav: tellement de joie que defois je voudrait le crier sur les toit je viens le partager avec vous tous. :la nature: :cadeau: | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 30/6/2009, 5:49 pm | |
| Principes
L'idée est de chercher la simplification pour améliorer sa qualité de vie. Cette philosophie de vie est née de la constatation que la consommation n'apporte pas le bonheur. Dans la société de consommation, on consacre son temps à gagner toujours plus d'argent pour satisfaire des besoins matériels. Le principe de la simplicité volontaire est de moins consommer, donc d'avoir moins besoin d'argent et moins besoin de travailler. En vivant en dessous de ses moyens, on gagne alors du temps pour ce qui est important pour soi. La simplicité volontaire n'est pas la pauvreté ni le sacrifice. C'est un choix de vie délibéré. Mais elle peut représenter une aide pour des personnes ayant des difficultés financières. Arbre La simplicité volontaire, dans le sens où elle limite la consommation de biens matériels, contribue à ralentir la destruction des ressources naturelles. De la même façon, le refus du gaspillage permet d'économiser l'eau, l'électricité et toutes les formes d'énergie. La simplicité volontaire peut être critiquée sur le fait qu'il ne s'agit que d'actions individuelles (voire individualistes) qui ne sont pas en mesure de changer la société. Mais la simplicité volontaire n'a pas l'ambition de changer le monde, simplement de favoriser la réflexion pour changer sa façon de vivre. De plus, elle permet d'agir immédiatement sans devoir attendre que les gouvernements cessent de tergiverser. Les actions individuelles peuvent sembler comme une goutte d'eau dans l'océan, mais comme le disait si bien Mère Térèsa, si nous n'agissons pas, cette goutte d'eau ne se rendra pas jusqu'à l'océan. En réalité, c'est la somme de toutes les actions individuelles qui permettra de créer un monde meilleur et la simplicité volontaire représente un chemin privilégié pour arriver à cette fin. L'un de ces spécialistes, Mark A. Burch, explique que la simplicité volontaire peut s'appliquer également à des domaines moins matériels comme les activités, les relations, les souvenirs. L'idée est de vivre mieux avec moins. Or, il n'y a pas que les objets qui nous encombrent! On peut même penser que c'est en ayant l'esprit désencombré que l'on est alors capable d'appliquer la simplicité volontaire sur les objets qui nous entourent, car nous savons alors ce qui a vraiment de l'importance pour nous. À l'heure actuelle, la simplicité volontaire constitue un mouvement social assez marginal, mais la "vie simple" présente plusieurs avantages que l'on gagnerait à découvrir. Aussi, elle pourrait être associée à des bienfaits importants pour la santé et la recherche scientifique gagnerait certainement à s'y intéresser dans une perspective de santé publique. | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 15/7/2009, 5:55 pm | |
| LeDevoir.com , 8 janvier 2009
La crise financière et la simplicité volontaire Louis Chauvin, Président du Réseau québécois pour la simplicité volontaire Pascal Grenier, Président du Groupe de simplicité volontaire de Québec Site web du Réseau Québecois de la simplicité volontaire
La crise financière est à nos portes. Nos gouvernements s'y préparent, à Québec comme à Ottawa. On s'évertue à trouver toutes sortes de raisons pour expliquer cette crise, et elle est, en effet, très complexe. Cependant, les faits récents nous révèlent que c'est en grande partie la surconsommation, voire l'hyperconsommation, associée à l'endettement excessif, qui a créé cette situation critique mondiale.
Diminution de la consommation
Selon les simplicitaires, l'occasion est favorable pour effectuer des changements sociaux et économiques profonds, plutôt que cosmétiques. En effet, le Réseau québécois pour la simplicité volontaire (RQSV) et le Groupe de simplicité volontaire de Québec (GSVQ) croient que l'approche de la réduction de la consommation, qu'ils proposent depuis des années, est valide plus que jamais et ce, même en temps de crise. Lorsque les adeptes de la simplicité volontaire avançaient l'idée de la réduction de la consommation, plusieurs argumentaient que cela allait nuire à l'économie. Ne faut-il pas consommer pour faire rouler l'économie, dit l'adage populaire?
Or, aujourd'hui on constate que consommer à l'excès, comme l'on fait les États-Uniens depuis plusieurs années, a mené au bord de la faillite économique des millions de personnes et a fragilisé le pays tout entier, et même plus. Par opposition, une vie de simplicitaire avec une consommation raisonnable, satisfaisant les besoins essentiels et un peu plus, est la meilleure assurance d'un équilibre financier à long terme pour les individus et les pays.
Plusieurs ont peur de la simplicité volontaire, craignant les privations extrêmes et la pauvreté. Or, pourquoi ne pas profiter de la situation actuelle pour démontrer, comme le révèle la majorité des études, que les gens qui simplifient leur vie matérielle volontairement, tout en s'occupant plus de l'immatériel comme le développement personnel, les relations interpersonnelles et la spiritualité ne s'en portent que mieux physiquement et psychologiquement?
Dégénérescence environnementale
Par le passé, l'économie misait sur l'illusion d'un monde aux ressources illimitées et d'une capacité d'absorber tous les déchets que pouvait produire l'humanité. Nous avons donc développé un système basé sur la croissance continue et l'obsolescence planifiée, le tout supporté et encouragé par l'industrie de la publicité et du marketing qui s'acharne, par tous les moyens possibles, à nous convaincre que nous serons plus heureux en consommant toujours davantage.
Or cette idéologie de surconsommation est la base de la dégénérescence environnementale. Ceci, ni le milieu des affaires, ni les gouvernements, ni les groupes environnementaux ne l'ont reconnu explicitement. Puisque la planète nous montre de plus en plus que les limites de son exploitation et de sa pollution sont atteintes, une réduction de l'exploitation des ressources et de l'énergie ainsi qu'une diminution du transport et de la consommation en général, conséquences de la présente crise, sont de bonnes nouvelles sur le plan écologique.
Traditionnellement, les gouvernements tentent de stimuler la consommation en période de récession. Si on fait de même cette fois, ne va-t-on pas nourrir la cause de cette crise? N'est-il pas de plus en plus clair aussi que l'option «consommation en croissance constante» mène à un cul-de-sac écologique en plus d'économique? Ne serait-il pas temps que les trois ordres de gouvernement s'orientent de façon énergique vers des actions qui privilégient ouvertement la protection de l'environnement plutôt que celles qui favorisent le monde économique? Attendrons-nous que la situation devienne irréversible avant d'agir?
Croissance modulée et emplois
Tel qu'exprimé dans les paragraphes qui précèdent, les simplicitaires proposent d'accepter, voire d'accueillir, une certaine réduction de la consommation. Afin de minimiser les effets négatifs qui pourraient survenir, cette décroissance pourrait être modulée par une augmentation du commerce non-matériel ou moins matériel, qui a peu d'effets délétères sur l'environnement. Ce type de commerce comprend celui des services, de la culture, du savoir, de la relation d'aide, de la croissance personnelle, etc.
De plus, les gouvernements pourraient favoriser la mise en place d'activités économiques dans les domaines du réemploi, du recyclage, de la transformation des matériaux récupérés et du compostage. Il serait possible aussi que nos dirigeants exigent des fabricants que les produits de consommation soient plus durables et réparables. Les réparations diverses procureraient du travail à de nombreuses personnes. D'autres emplois pourraient aussi être créés pour la désintoxication de la planète plutôt que de tenter de récupérer des emplois dans le secteur de l'automobile, un des secteurs les plus nocifs pour la santé des écosystèmes et des humains.
La vie simple au quotidien
Les simplicitaires peuvent offrir des modèles autres que celui de la surconsommation qui règne sur nos sociétés et aussi aider beaucoup de gens en période de récession, car ceux-ci font depuis longtemps l'expérience de la vie simple au quotidien. Voici quelques exemples :
- Vivre selon ses besoins plutôt que selon ses moyens;
- Avoir un logement et une auto (si nécessaire) dimensionnés selon ses vrais besoins;
- Augmenter la longévité des objets en les réparant;
- Apprêter ses aliments soi-même et réduire sa consommation de viande;
- Troquer, louer, emprunter ou acheter usagé;
- Se rapprocher de son lieu de travail pour réduire les déplacements;
- Adopter des modes de transport écologiques;
- Favoriser la mise en commun: cuisines collectives, garderies, bibliothèques, piscines et joujouthèques publiques, etc.
- Etc. (mille et une autre solutions).
Ce qui est peut-être le plus important, c'est de faire tout cela non pas dans un esprit de sacrifice ou avec un sentiment de manque, mais dans la reconnaissance qu'une fois les anciennes habitudes brisées, les nouveaux comportements apportent, le plus souvent, une grande libération, la fierté et un mieux-être profond. En effet il y a beaucoup de satisfaction, voire de bonheur, à être cohérent entre ses valeurs et ses actions.
Le partage de la richesse
Pour aider, dans le cadre de la présente crise économique, les simplicitaires, en plus de proposer la réduction de la consommation, font la promotion d'un meilleur partage de la richesse. En effet, une diminution des écarts entre riches et pauvres réduit la criminalité, la délinquance, la jalousie et l'envie. Plus important encore, les fréquents comportements ostentatoires des gens riches créent une spirale ascendante de consommation qui entraîne des gens de classes sociales inférieures qui aspirent à «monter», ce qui donne des résultats catastrophiques pour l'environnement.
Il apparaît donc qu'une migration de mentalités et d'attitudes vers la simplicité volontaire, tant dans nos vies privées, dans nos processus commerciaux que dans l'administration gouvernementale, pourrait être d'un secours précieux dans le cadre de la présente crise économique. De surcroît, elle pourrait de plus nous aider à traverser la crise écologique, beaucoup plus sérieuse, qui pourrait très bien suivre les présentes difficultés financières.
Publié par Master Chief à l'adresse 06:34
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| | | djmaminou assistant boss
Messages : 829 Date d'inscription : 15/05/2009 Localisation : Nogaro(circuit de courses) France
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 16/7/2009, 3:44 am | |
| Dans ma région, pas de cuisines collectives, ce sont des gens aisés et ils ne comprennent rien, pour eux ils travaillent udrement pour gagner leur vie, mais ils ne font cadeau de rien, il ne faut pas s'aviser d'aller glaner sur leurs terres, ils vous chassent. | |
| | | donalda123 Admin
Messages : 14249 Date d'inscription : 27/04/2009 Age : 63 Localisation : matawinie
| Sujet: Re: partage sur la simplicité 16/7/2009, 6:07 am | |
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| Sujet: Re: partage sur la simplicité | |
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