simplicité volontaire et partage =2

Sac de sable économique pour boxe et arts martiaux
Ce vidéo (anglais seulement) nous enseigne comment fabriquer un sac de sable pour moins de 5$. Justement, je reviens de chez Sport Expert et les plus petits sacs de sable commencent à 74,99 ...donc étant donné que je ne suis pas riche par les temps qui courent, j`évalue sérieusement la possibilité de m`en construire un moi-même!

http://www.metacafe.com/watch/1863068/how_to_make_a_sandbag/

Gratuité
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Le sens commun, conditionné par la marchandisation du monde et le fait qu'il faut donner un prix à tout, semble connoter péjorativement ce qui est gratuit, car pour beaucoup "gratuit" implique "sans valeur".

La vraie gratuité pourtant agit sans arrière-pensée, sans rien attendre en retour, ce serait donc peut-être à la fois un modèle d'action positive et sincère, en même temps qu'une des seules réponses valables en ce monde face à l'inéluctabilité de la mort.

La gratuité n'a rien à voir avec la charité.

La "gratuité", comme d'autres domaines, est victime de la publicité, de la démagogie, et d'une certaine dévalorisation inconsciente.




Sommaire [masquer]
1 La gratuité est naturelle
2 Heureusement, tout ne peut pas se vendre et tout ne peut pas s'acheter
3 Voir aussi
3.1 Liens internes
3.2 Liens externes


[modifier] La gratuité est naturelle
Qui n'a pas mangé une fraise ou une framboise sauvage en se promenant dans une forêt ? La simplicité de ce geste nous rappelle sans doute nos origines : les premiers hommes étaient simplement cueilleurs. C'était avant l'invention de l'agriculture, de la chasse et de l'élevage, avant la domination de l'homme sur la nature, dont on voit aujourd'hui les conséquences désastreuses. Pourtant la nature continue de témoigner de sa générosité. À qui veut bien y être sensible et attentif, la nature donne sans compter : champignons,racines baies sauvages,fruits...

Mais la nature ne donne pas que le boire et le manger, elle donne aussi le soleil et la chaleur, la paille et le bois, l'eau douce avec l'air que l'on respire … C'est sans doute la raison pour laquelle la société marchande qui a envahi le monde a développée une idéologie de haine contre la nature. Prenons simplement l'exemple du soleil qui dispense gratuitement, tous les jours, sa lumière et sa chaleur. C'est une source d'énergie inépuisable (à l'échelle humaine), qui se renouvelle sans cesse et dont on a su exploiter les bienfaits. Pourtant, bien que l'intelligence humaine soit parvenue à développer des technologies savantes comme les piles photovoltaïques ou plus modestement les chauffe-eau solaires, la diffusion et l'amélioration du rendement de ces appareils n'intéresse pas l'industrie. On veut maintenir l'humanité en état de dépendance totale vis-à-vis des fournisseurs d'énergies payante (gaz, électricité, pétrole).

Si l'on pouvait comprendre que tout est gratuit alors nous-même nous pourrions vivre et travailler gratuitement, ce serait la fin du système, mais en même temps la reconquête de notre liberté perdue.

Regardez la vie des oiseaux : Ils ne payent rien de ce qu'ils consomment et vivent totalement libres, si ce n'était l'homme qui, dans sa bêtise culturelle, les capture pour les mettre en cage ou les tue pour les manger…

[modifier] Heureusement, tout ne peut pas se vendre et tout ne peut pas s'acheter
Bien que les dirigeants de ce monde, c'est-à-dire les grands groupes financiers et les actionnaires, rêvent sans doute de nous vendre même l'air que l'on respire (savoir qu'il existe depuis 1990 des distributeurs payants d'oxygène pour les habitants de Tokyo, l'une des villes les plus polluée du monde), il existe beaucoup de choses qui ne peuvent ni se vendre, ni s'acheter :

l'air que l'on respire, mais on en vend au Japon
la lumière et la chaleur du soleil, mais les plages payantes existes
l'amitié,
l'amour, marabout que l'on paye pour retrouver l'amour perdu, "l'amour est plus croquant avec royal cornetto de miko"
la fidélité
la joie, mais ils nous en vendent aussi "avec Carref.. je positive"
le bonheur, mais ils en vendent : "Plus belle la vie", "Chaque jour c'est du bonheur à tartiner","360°de bonheur"...
la santé, mais aux USA la santé se paye, chacun à son assurance santé
le vent, la neige et la pluie, mais dans certains pays il est interdit d'avoir des récupérateurs d'eau de pluie chez soi.
la vie, mais Monsanto et compagnie sont en train de breveter la vie
la jeunesse, ils nous en vendent dans chaque supermarché (voir rayons cosmétique, et voir les pubs de L'Oréal)
la beauté (la chirurgie esthétique n'est qu'une illusion, on a toujours le même âge, même si on se fait gommer les rides)
etc.
Bien sur toutes ces choses/idées/etats.. cités peuvent être trouvées gratuitement mais soyez attentif et vous verrez que toute ces choses gratuite deviennent peu à peu payante et qu'il faudra bientôt lutter pour qu'elles restent gratuite. N'oubliez pas que certaine chose ne s'achetent pas... "pour le reste il y a eurocard-mastercard".

[modifier] Voir aussi
[modifier] Liens internes
Recupe.net
Simplicité volontaire
Écosophie
Zone de gratuité
[modifier] Liens externes
L’éloge de la gratuité par Bertrand Larsabal
La frontière de la gratuité par Jean-Louis Sagot-Duvauroux
La gratuité est un saut de civilisation par Jean-Louis Sagot-Duvauroux
Le lacher de livres. Article sur Indymedia Nice : déposez des livres dans un parc, une gare, un métro… à l'attention des inconnus de passage
Le bookcrossing. Même principe que le lâcher de livres, on enregistre son bouquin sur le site et on recopie l'identifiant fourni dans le livre, pour que la personne ayant trouvé le livre se manifeste et ajoute ses commentaires.
Le site Recupe: Alternative à la société de consommation et promotion du don désintéressé. Site permettant le don d'objets variés.
Le grand don: Même objectif, mais modalités différentes: organisation d'opération "Dons" en différents lieux.Le site existe toujours mais n'est plus actif...
La Pour la gratuité(2006) de Jean-Louis Sagot-Duvaurouxaux Editions de l'eclat
La gratuité un projet de civilisation article de Jenny de Wervicq publié dans ecorev (revue critique d'écologie politique) en juin 2003
De la gratuité partielle à la gratuité totale - Mouvements de précaires et anarchistes article de Bureau d'études publié dans ecorev en juin 2003
Inventer la gratuité bureau d'études publié dans la Revue du MAUSS (Mouvement anti-utilitariste dans les sciences sociales), 2003
Centres de recherches sur la gratuité
Freecycle : Groupe Yahoo mondial de dons désinteressés, classé par ville
Taenia Solium édite des disques non-marchands (copyleft, sans subventions et gratuits)



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Récupérée de « http://fr.ekopedia.org/Gratuit%C3%A9 »

Exemples de remise en cause de ses habitudes
La simplification commence par remettre en cause les habitudes prises parfois sous l'influence de la publicité et de la télévision. Mais a-t-on vraiment besoin de 20 détergents différents (un pour chaque type de surface)? A-t-on besoin de 10 crèmes de beauté différentes (une pour chaque partie du corps)? A-t-on besoin du dernier lecteur DVD sorti sur le marché? La simplicité volontaire est une démarche propre à chacun qui commence par la définition de ses vrais besoins et envies.

C'est aussi alléger sa vie de tout ce qui l'encombre et privilégier l'Être plutôt que l'Avoir. La simplicité volontaire valorise les relations humaines et la solidarité : l'entraide permet en effet de résoudre bien des problèmes. On peut citer l'exemple des systèmes d'échanges locaux (SEL) basés sur le troc.

Pratiquer le désencombrement. Par exemple, ne garder que les papiers vraiment importants et les livres que vous adorez. Vous avez alors besoin de moins de meubles de rangement, de moins d'espace, et donc de moins de produits d'entretien.

Le service public est utile quand on veut se simplifier la vie. Le recours aux transports collectifs, aux piscines ou bibliothèques publiques évite des achats (par exemple l'achat d'une voiture).

La simplicité volontaire implique souvent de chercher l'autosuffisance, c'est-à-dire faire soi-même au lieu d'acheter, par exemple en jardinant, cuisinant, cousant, de même qu'en construisant ou retapant sa maison.

L'idée est aussi de privilégier la valeur d'usage : avoir pour avoir n'a aucun intérêt. N'ayez que des choses que vous utilisez vraiment. Un livre que vous n'avez pas relu depuis dix ans, c'est un livre qui aurait plutôt sa place dans une bibliothèque. Un vêtement que vous n'avez pas porté depuis un an pourrait être déposé dans une association. Vous allez rapidement vous rendre compte qu'en fait vous n'avez pas besoin de grand-chose!




[modifier] Voir aussi

Occasion, réparation et réutilisation.
Une des clés de la non consommation est là ! A portée de main et de bourse ou d'un peu d'huile de coude.
Si l'on veut consommer et acheter moins, il est essentiel de faire vivre longtemps de qui a déjà été produit.

- faire les brocantes (les vides greniers ) plutôt que d'acheter du neuf ;
- passer une petite annonce pour donner ce que vous voulez jeter ;
- réparer ou faire réparer ce qui est cassé ou usé : les vêtements, les canapés notamment peuvent facilement trouver une seconde jeunesse ;
- récupérer les trésors que l'on trouve tous les mois lors des "encombrants".

Il nous faut passer du jetable au réparable et réutilisable.
N'hésitez pas à laisser vos idées ou expériences dans ce domaine.

http://fcorpet.free.fr/Denis/moins.html

Gagnant-Gagnant
La Simplicité Volontaire n’est-elle pas avant toutes choses une retrouvaille avec ces petits bonheurs choisis que sont par exemple :
la saveur du temps qu’on s’accorde ;
la saveur du temps accordé aux autres ;
les petites joies de ce qui nous entoure, dont la Nature, bien sûr ;
l’intelligence du savoir-faire soi-même ;
la satisfaction de ce qui est (le présent) ;
le partage ;
et tout autre chose que vous rajouterez à cette liste.


Pour se raccrocher à ce qui nous occupe, à savoir les quatre piliers du développement durable, la « suffisance » proposée par la simplicité volontaire, dans sa dimension épicuro-spinozienne, m’apparaît représenter une voie salutaire au même titre que le deuxième volet de la solution durable, l’« efficience », qui la complète. Ne contribue t’elle pas aussi à ce sentiment, si agréable, de faire partie de cette dynamique citoyenne, d’appartenir à ce quelque chose de plus grand que nous, la Nature, sans nous mettre au pied du mur mais plutôt à sortir du mur .


Et cerise sur le gâteau, outre cette nouvelle liberté aux biens matériels, donc à la société de consommation, dans son volet partage et échange de biens ou de connaissance, elle est prétexte de reliance aux autres, ô combien essentielle à l’essence du sentiment du soi.


Plaisir et liberté, cela ne vous dit rien ? Ce sont les fondements de l’individualisme. Etonnant, non ? Nous voici, devant un choix. Continuer à le pourfendre et à le clouer au pilori et donc être des Don Quichotte à ramer avec des toutes petites rames à contre-courant sociétal. Ou, c’est ma proposition, intégrer ces nouveaux éléments constitutifs d’un individu-éthisme. Créer du gagnant-gagnant partout où nous passons.


Avant d’aller plus loin, je me permets un conseil pour donner sens à ce papier. Remplacer le sempiternel « de rien… » par un joyeux « avec plaisir… » permet de donner du volume à nos actes libres et sympas et créer le fil de la relation. Ce n’est pas facile au début, soyez gentil(le) avec vous, et redoutablement efficace quant au sens donné ici aux vertus plaisirs du veiller à bien. C’est le passe-partout de la boite à outils du passeur.

5. Passeurs de bonheur, réenchanteurs de monde ?
Vous vous ferez sûrement votre propre conviction des multiples avantages « plaisir » de la bienveillance et de la Simplicité Volontaire. L’important est d’être sûr de notre sujet et d’avoir, sans hésitation aucune, une posture d’activateur de plaisirs et pouvoir rencontrer avec harmonie cette part créatrice et citoyenne de l’autre. Ce faisant, nous serons dans une meilleure écoute de sa réalité. Préalable indispensable à tout processus de pollinisation de nos valeurs.


Nous vivons aujourd’hui une vraie rupture. Sur le terrain défriché et préparé depuis 40 ans par vos soins, certains, dont Al Gore ou Nicolas Hulot, ont créé un effet turbo par rapport à la sensibilisation. Nous pouvons enfin passer à l’étape suivante, la mobilisation. Ce n’est pas du tout le même exercice et nous tentons ici, chez Etopia, de compléter votre boîte à outils d’experts de quelques nouveaux regards, postures ou autres arguments.


En conclusion de ce qui précède, j’assume la proposition suivante, très ambitieuse, un peu provocante en ces lieux. Ne changerait-on pas quelque peu notre vocabulaire ? J’avoue par exemple préférer en ce qui nous concerne, le mot « passeur » au mot « militant », le mot « emmener » au mot « convaincre », le mot « pouvoir » au mot « devoir », l’expression « imaginaire individuel » à l’expression « solidarité collective »… Ne m’en voulez pas, il ne s’agit pour moi qu’une certaine efficacité de notre pouvoir d’accélérateur de changements. Ce serait dommage de passer à côté de cette dynamique citoyenne, massive et palpable.


Aujourd’hui, l’écologie peut clairement devenir élément constitutif de cet imaginaire individuel, valorisant et enthousiaste au service de la collectivité. De ce Bonheur Intérieur Brut, dont la conscience sera détonateur du Bonheur National Brut. Vous en êtes passeur, donnez ce pouvoir aux personnes que vous rencontrez.


« Réenchanteur », c’est pas chouette, ça ? Etre capable d’émerveiller là où le sentiment d’incapacité à exprimer notre pouvoir de bienveillance est le principal facteur de résignation, d’inertie. N’oubliez pas que selon la psychologie sociale , « Qui donne un œuf, donne un bœuf ! » et que par conséquent, toute personne à qui vous aurez donné ce fameux pouvoir en deviendra passeur. C’est une question d’écoute et de regard. A la limite, on pourrait même aller jusqu’à cette nouvelle approche de l’écologie que je vous propose en primeur : « Ne te demandes pas avec résignation ce que tu peux faire pour la nature, tu en fais partie ! Crée en toi la vacuité nécessaire pour te laisser imprégner par l’écologie, elle sait, elle, ce qu’il faut faire et comment. »


Cette proposition intègre l’écoute de l’autre à la fois de ses peurs, de son sentiment de solitude dans la Nature et de sa part créatrice de culture qui attend des suggestions constitutives de son écologie personnelle. Elle allie à la fois la nécessité de changer ses comportements et sa liberté.


Soyons Epicure, transmettons une certaine simplicité de ce bonheur choisi autour de nous, il y a une part de réceptivité de ce propos chez beaucoup plus de personnes qu’on ne peut l’imaginer. Et quand bien même, nous nous trompions sur quelques-unes, celles que nous aurions pré-écartées à priori, auront la chance de savourer cette proposition. C’est une question de regard…

http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/opinions/carrefour/200904/24/01-850057-la-simplicite-volontaire-expliquee.php

http://livre.fnac.com/a2660963/Philippe-Lahille-Vivre-simplement-pour-vivre-mieux-ou-La-simplicite-volontaire-en-130-conseils-pratiques?PID=910

http://merome.net/dotclear/index.php?2006/03/08/197-la-simplicite-volontaire

Ressources & liens sur la simplicité volontaire

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Quelques liens sur la Simplicité Volontaire

Revues :

Passerelle éco : www.

Bulletin Simpli-cité : www.simplicitevolontaire.org

revue alternative S !lence : www.revuesilence.net

http://www.simplicitevolontaire.org. Réseau québécois pour la simplicité volontaire (RQSV). Le site web du Réseau contient aussi beaucoup d’information sur la SV et, d’une certaine façon, a pris comme le "relais" de ce site qui était effectivement l’un des premiers, sinon le premier site francophone et québécois sur la SV.

La page de l’ACEF Est de Montréal sur la simplicité volontaire .

Il y a bien sûr aussi tout le réseau "Simple Life" des E.U. dont l’adresse principale est : www.simpleliving.net et qui sert de lien vers beaucoup de groupes et services intéressés par les questions de simplicité volontaire.

À propos de la Journée internationale Sans Achat : www.adbusters.org

Quelques documents sonores disponibles en ligne

Une excellente émission de la chaîne anglaise de Radio-Canada peut être téléchargée ou écoutée à l’adresse suivante. Cette émission comporte notamment une entrevue de Vicky Robin, co-auteure de l’une des bibles de la simplicité volontaire aux USA, le fameux "Your money or your life". http://radio.cbc.ca/programs/ideas/sounds/index.html .

Synopsis : The Simple Life first broadcast on IDEAS 22 June 1998 Are you feeling trappedy by time and money pressures ? A growing number of North Americans are questioning the values of our consumer driven society and realizing there are other options. Jill Eisen explores a movement called Voluntary Simplicity. Listen to this program in realtime (54:25 mins) or download (6.3 MB .ra file)

Quelques livres

"Votre vie ou votre argent ?", de Joe Dominguez et Vicki Robin, traduit en français aux Éditions Logiques, Montréal, 1997, 463 p. (avec une bibliographie utile ; et un site internet que vous avez sans doute déjà répertorié : www.newroadmap.org).

"Les vraies richesses, Pistes pour vivre plus simplement" de Pierre Pradervand, Éditions Jouvence, Genève, 1996, 248 p.

"La vie simple, Guide pratique" de Pierre Pradervand, Éditions Jouvence, Genève, 1999, 91 p. (petit guide de poche vendu 8.95$)

Bernard, Michel, L’UTOPIE NÉO-LIBÉRALE, Chaire d’étude socio-économique de l’UQAM, 1997

Capra, Fritjof, LE TEMPS DU CHANGEMENT, Éditions du Rocher, Monaco, 1983

Centre des femmes d’ici et d’ailleurs (CFIA), Guide de mise sur pied d’un réseau d’échange de services, CFIA :(514) 495-7728, Montréal, juin 1997

Clerc, Loly, JE DÉPENSE DONC JE SUIS !, J’ai Lu - Collection Bien-être # 7107, Paris, 1994, 190 p.

Collectif, L’ARGENT : MONNAIE DE SINGE ? MONNAIE DE SAGE ?, Le Souffle d’or, Barret-le-bas, 1996, 179 p

Dominguez, Joe et Robin, Vicki, VOTRE VIE OU VOTRE ARGENT ?, Éditions Logiques, Montréal, 1997, 462 p.

Elgim, Duane, VOLUNTARY SIMPLICITY, Bantam Books, New York, 1981.

ÉNERGIE ET ÉQUITÉ, Ivan Illich, Éditions du Seuil, Paris, 1975.

FACTEUR 4. DEUX FOIS PLUS DE BIEN-ÊTRE EN CONSOMMANT DEUX FOIS MOINS DE RESSOURCES, Terre Vivante, Mens, 1997

Forrester, Viviane, L’HORREUR ÉCONOMIQUE, Fayard, Paris, 1996, 215 p.

Fromm, Erich, AVOIR OU ÊTRE ?, Éditions du Rocher, Laffont, Paris, 1978.

Fromm, Erich, De la désobéissance et autres essais, Éditions du Rocher, Laffont, Paris, 1983.

Grip Québec, JUSTICE SANS FAIM -Le guide montréalais des choix alimentaires écologiques et socialement responsables, 1994, 141 p.

Groupe de Lisbonne, LIMITES À LA COMPÉTITIVITÉ, boréal, 1995, 130 p.

Hawken, Paul, L’ÉCOLOGIE DE MARCHÉ, ou l’économie quand tout le monde gagne, Le Souffle d’or, 1996.

Jacquard, Albert, J’ACCUSE L’ÉCONOMIE TRIOMPHANTE, Calmann-Lévy, Paris, 1994, 167 p.

Kenneth Galbraith, John, LA RÉPUBLIQUE DES SATISFAITS, Éditions du Seuil, 1993.

Kenneth Galbraith, John, POUR UNE SOCIÉTÉ MEILLEURE, Éditions du Seuil, 1997

Kirschner, Josef, VIVRE HEUREUX AVEC LE STRICT NÉCESSAIRE, Le Jour, Montréal, 1983.

Langlois, Richard, POUR EN FINIR AVEC L’ÉCONOMISME, Boréal, 1995.

Les ami-e-s de la terre de Québec, LE GUIDE VERT DES CONSOMMATEURS, Éditions Libre Expression, Collection Paix, Montréal, 1991, 284p.

Michaud-Lalanne, Hortense, SI LES VRAIS COÛTS M’ÉTAIENT COMPTÉS, Éditions Écosociété, Montréal, 1993.

Mongeau, Serge, LA SIMPLICITÉ VOLONTAIRE, plus que jamais... , Éditions Écosociété, Montréal, 1998, 264 p.

Nations Unies, RAPPORT MONDIAL SUR LE DÉVELOPPEMENT HUMAIN 1998.

Nozick, Marcia, ENTRE NOUS - REBTIR NOS COMMUNAUTÉS, Éditions Écosociété, Montréal, 1995.

Paradis, France, LE PETIT PARADIS, (Tout ce que vous devez savoir pour vivre bien avec presque rien), Editions de l’Homme, Montréal,1995, 198p.

Pradervand, Pierre, LES VRAIES RICHESSES, Pistes pour vivre plus simplement, Éditions Jouvence, Genève, 1996, 248 p.

Ramonet, Ignacio, NOUVEAUX POUVOIRS, NOUVEAUX MAÎTRES DU MONDE, Fides, 1996.

Sachs, Wolfgang et Esteva, Gustavo, DES RUINES DU DÉVELOPPEMENT, Éditions Écosociété, Montréal, 1996

Schumacher, E.F., SMALL IS BEAUTIFUL, Contretemps/Le Seuil, Paris, 1978.

Séguin, Michel, LE SCANDALE DES DÉCHETS AU QUÉBEC, Éditions Écosociété, Montréal, 1994.

Waridel, Laure et coll., L’ENVERT DE L’ASSIETTE, UN ENJEU ALIMEN...TERRE, Les Intouchables, Montréal, 1997, 108 p.

Et de façon générale, la plupart des titres des Editions Ecosociété : (514) 985-4318

DES ARTICLES

Châtelaine, par Monique Roy, PLUS HEUREUX AVEC MOINS, UNE NOUVELLE FAÇON DE VIVRE, Mars 1998, pp. 29-31.

Guide Ressources, par Christian de Laet et Lucie Dumoulin, LE TOUR DU TROC, Janvier 1998, pp. 28-31

Guide Ressources, par France Paradis, LE PIÈGE DE LA VITESSE, Septembre 1997, pp. 13-21 et pp. 24-29.

- Guide Ressources, par Léon René de Cotret, L’ARGENT ET LE BONHEUR : AVEZ-VOUS L’IMPRESSION D’AVOIR TROP MANGÉ ?, Octobre 1997, pp. 35-45.

L’Actualité, par Véra Murray, QUAND A-T-ON ASSEZ D’ARGENT ?, Mars 1998, pp. 17-20.

Le Devoir, par Josée Blanchette, MOURIR SANS UN ROND, 11 septembre 1998.

Le Devoir, par Josée Blanchette, SIMPLE D’ESPRIT, 23 janvier 1998.

Le Devoir, par Brian Myles, LE NOUVEL OPIUM DU PEUPLE, 16 février 1999.

Le Devoir, par Brian Myles, AU ROYAUME DES ANTIPUBLICITAIRES, 17 février 1999

Recto Verso, par David Puchault, LAURE WARIDEL : SUR LE PLANCHER DES VACHES ET LE SENTIER DU CAFÉ, janvier-février 1999, pp. 8-12.

Revue Relations, par Dominique Boisvert, ROMPRE AVEC LE NÉO-LIBÉRALISME, No de Septembre 1997, pp. 200-214.

DES RESSOURCES :

Covoiturage

Tout l’monde en voiture ! Nouveau service pour favoriser le covoiturage

Avantages environnementaux et économiques du covoiturage

Autres

Groupes d’achats : Les ASC (Agriculture soutenue par la communauté). Des consommateurs qui achètent d’avance la production de certains agriculteurs. Information à A SEED, (514) 398-8969.

Coopérative de location de voitures : COMMUNAUTO : Montréal : (514) 843-4825 AUTO-COM : Québec : (418) 523-1788

Échanges de services : BANQUE D’ÉCHANGES COMMUNAUTAIRES DE SERVICES (BECS) : à Montréal (514) 271-9564 ou (514) 525-5816

Échanges de services : CENTRE DES FEMMES D’ICI ET D’AILLEURS, (514) 485-7728 Pour le désarmement : NOS IMPÔTS POUR LA PAIX : Montréal (514) 844-0484.

Partager ses recettes à bas prix : REGROUPEMENT DES CUISINES COLLECTIVES DU QUÉBEC : Montréal (514) 529-3448

Jardiner pour apprendre à devenir plus autonome et éventuellement réduire les coûts d’alimentation : LES JARDINS COMMUNAUTAIRES : Ville de Montréal : par les bureaux Accès Montréal : 87ACCES.

Pour investir son argent dans une perspective sociale et éthique : ACEM (Association communautaire d’emprunt de Montréal, (514) 844-9882.

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Plusieurs sites internet traitent de simplicité volontaire et de sujets connexes. Voici quelques uns des plus intéressants.
Le site de François Privé - un de nos membres fondateurs, professeur de philosophie. À notre connaissance, le premier site en français sur la simplicité volontaire. Site : http://www.digicom.qc.ca/ fprive/

The Simple Living (en anglais) - site où on réfléchit sur des façons de retrouver la simplicité dans votre vie.

The Simple Living Network (en anglais) - sans doute un des sites américains les plus complets sur le sujet.

The New Road Map Foundation (en anglais) - mouvement initié par les auteurs de « Votre vie ou votre argent ? » (Joe Dominguez et Vicki Robins).

Center for a New American Dream (en anglais) - une organisation qui vise à analyser et redéfinir le rêve américain. C’est un site très complet couvrant une panoplie impressionnante de sujets.

La simplicité volontaire expliquée pour les jeunes sur le site du Ministère de l’Environnement : les aventures du personnage Rafale qui se questionne sur la surconsommation.

D’autres liens dans la section ABC.

Pour découvrir ces sources et liens, cliquez sur l’adresse ci-dessous :
http://www.simplicitevolontaire.org/agora/forum-liens.htm