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 partage simplicité volontaire =3

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donalda123
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MessageSujet: Re: partage simplicité volontaire =3   partage simplicité volontaire =3 - Page 4 Icon_minitime4/1/2012, 11:40 am

Maison en Cob à Ste-Ambroise-de-Kildare
Une cabane vivante

Lorsqu’on arrive chez Jean-François et Mélanie, on ne se doute pas de ce qui se cache derrière la maison aux apparences conventionnelles. Juste après le hangar se trouve une petite cabane construite en cob. Le cob est une technique de construction écologique qui est tombée dans l’œil de Jean-François lorsqu’il en a appris l’existence. Il s’agit d’un mélange sable, d’argile, de paille et d’eau qui n’a besoin d’autre structure que lui-même, c’est-à-dire qu’il se tient sans coffrage, avec la forme qu’on lui donne. Pour en connaître véritablement les bienfaits et les limites, Jean-François s’est lancé dans l’autoconstruction d’une cabane d’environ 150 mètres carrés, aire pour laquelle un projet de construction ne nécessite pas de permis ! Mais avant tout, pour tester ses capacités de construction et la technique en soi, Jean-François a réalisé deux projets pour se pratiquer et acquérir de l’expérience. C’est ainsi qu’il a bâti un four à pain et un foyer de masse de type rocket mass heater dans sa grange. Une fois avoir gagné confiance en lui et en le cob, il était prêt à construire la fameuse cabane. La technique du cob ne fait pas exception à la règle pour les premières étapes à réaliser pour une nouvelle construction ; il faut d’abord installer un système de drainage et dresser les fondations. Vient ensuite la tâche d’ériger les murs. Pour façonner le mélange qu’est le cob, la technique est simple. Tout d’abord, on délaye de l’argile avec de l’eau dans un grand récipient, puis on installe le sable sur une toile. Une fois le mélange d’argile et d’eau constitué, on l’étend sur le sable. On s’aide de la toile et de ses pieds pour rendre le tout homogène. Ensuite, on y intègre le plus de paille possible jusqu’à ce que le mélange devienne dur et malléable ; cette mixture est précisément celle qui a servi à construire les murs du premier et du deuxième étage, qui sert de chambre à coucher.

En utilisant le cob comme matériau, on dit que la maison est vivante, de par sa capacité de transpiration. Les propriétés du cob permettent de faire sortir l’humidité des murs et de la faire entrer lorsque c’est nécessaire, ce qui permet de garder un taux d’humidité naturel et confortable tout au long de l’année. C’est le même principe qu’avec les maisons construites en ballots de paille.

Pour sa part, le toit de la cabane est constitué d’un pied d’épaisseur de phragmite, graminée que l’on retrouve souvent sur le bord des autoroutes. Pour en assurer la meilleure conservation possible, il est idéal de la récolter après les premières gelées. Une fois posée sur le toit, elle fournit une très bonne isolation, ainsi qu’une protection contre le vent, le froid et l’eau, en plus d’être résistante à nos hivers québécois. Normalement, on estime la durée de vie de ce type de toit de 40 à 60 ans et certains vont même jusqu’à une centaine d’années.

En ce qui concerne le chauffage, le rocket mass heater est l’unique système prévu à cet effet. Il s’agit d’un foyer de masse qui a l’avantage d’être beaucoup plus efficace qu’un foyer de masse conventionnel et beaucoup moins coûteux. Dès qu’on y allume un feu, la chaleur se fait sentir presqu’immédiatement si on pose la main sur le baril de métal. Celui-ci diffusera sa chaleur dans la pièce et servira à faire chauffer l’eau qui circule dans des tuyaux de cuivre placés dans le banc et dans le plancher, ce qui leur donne la caractéristique d’être radiants. De plus, le principe des foyers de masse, est tel qu’on transfère la chaleur dans un matériau (le cob) qui a une forte masse thermique, ce qui veut dire qu’il a la propriété d’emmagasiner la chaleur rapidement et la diffuser lentement. Bien que ce système puisse paraître bien simple, il n’en est pas moins efficace ! En quelques minutes, la température au-dessus du baril peut monter jusqu’à 400-500 degrés Celsius, ce qui est amplement suffisant pour y cuisiner et y faire mijoter des plats.

Pour compléter le chauffage, Jean-François a choisi d’orienter les fenêtres de la cabane sur l’axe sud-est, de manière à profiter de l’énergie solaire passive. Ainsi, au solstice d’hiver, les rayons entrent de plein fouet à l’intérieur et contribuent à réchauffer la masse. Autre fait intéressant au plan calorifique, la forme arrondie de la maison n’est pas un élément qui a été décidé au hasard. Elle a été prévue ainsi car les courbes rendent la structure plus forte, en plus de restreindre la superficie de murs exposée à l’extérieur, comparativement à une forme rectiligne. Durant les périodes de grand froid, lorsque le vent se bute contre un mur arrondi, il suivra la courbe de la cabane et créera ainsi un coussin d’air pour conserver la chaleur.

Ainsi, malgré ses apparences et sa grandeur, la cabane de cob a tout pour constituer une maison complète, à l’exception d’une toilette qui pourrait y être annexée. Jean-François a même connecté l’eau, l’électricité, le téléphone et internet ! Et croyez-le ou non, l’entièreté de la cabane a coûté jusqu’à maintenant seulement 3 000$ à construire, ce qui constitue un attrait considérable pour d’éventuels autoconstructeurs. Il faut cependant mentionner que le prix aurait pu être tout autre s’il n’avait pas porté une attention particulière à utiliser des matériaux locaux et recyclés. À cet effet, toute l’argile utilisée a été prise sur son propre terrain et il a fait du troc avec son voisin pour obtenir la paille. Les fenêtres sont également de seconde main. On voit donc les économies qu’il est possible de réaliser lorsqu’on fait une construction dont les ressources sont accessibles et peu coûteuses. Déjà, Jean-François prévoit construire des annexes autour la cabane. L’idée est que celle-ci soit entourée de pièces supplémentaires qui auront diverses fonctions. Sur la façade sud, il compte y installer une serre pour rallonger la période de culture de certaines plantes potagères. Au nord, sera l’endroit où il entreposera le bois de chauffage à l’ouest le poulailler et à l’est le balcon qui fera également office de hall d’entrée.

Quand habitat rime avec mode de vie

Pour Jean-François, construire une maison écologique n’est pas une fin en soi, mais constitue une des pièces du casse-tête pour adopter un mode de vie basé sur la simplicité volontaire et pour tendre vers une autosuffisance alimentaire. Depuis qu’il a suivi le cours de Design en Permaculture (PDC) avec Bernard Alonso en 2010, il transforme peu à peu son terrain en intégrant les principes de la permaculture. Adieu le gazon et bonjour aux plantes comestibles, aromatiques et sauvages de toutes sortes, dont le but premier est de produire une récolte. Son objectif à long terme serait d’arriver à nourrir sa famille avec les denrées alimentaires qu’il cultive, de tirer un revenu de la vente de quelques cultures potagères et de payer les dépenses courantes grâce au salaire d’enseignante de sa femme.

En construisant en cob, Jean-François a su démontrer que cette technique permet de concevoir une unité habitable, confortable et fonctionnelle. Il voulait également expérimenter une construction de petite taille, car selon lui, nous gagnerions grandement à réduire la taille de nos habitations, non seulement pour réduire notre empreinte écologique, mais également pour revoir le rapport que l’on établit entre l’intérieur et l’extérieur. Dans le design de sa maison et de son terrain, il démontre que l’extérieur devient un prolongement de la maison et que celle-ci retrouve son rôle de refuge après avoir passé la journée dehors. Durant les prochaines années, Jean-François voudrait contribuer à la propagation de cette technique au Québec. Il souhaiterait éventuellement donner des formations pour donner envie à des gens de s’autoconstruire en cob, que ces personnes s’approprient la technique et aillent de l’avant pour leur propre construction
Habitat éco-responsable
À Ste-Ambroise-de-Kildare dans la région de Lanaudière, nous avons eu la chance de visiter une cabane construite en cob, qui est un mélange de sable, d’argile, de paille et d’eau. Plus qu’une simple cabane, cette construction intègre tous les éléments d’une véritable unité habitable, en plus de s’intégrer dans un mode de vie qui tend vers l’autosuffisance alimentaire.


http://cob.diyblog.net/
Régions
Lanaudière
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MessageSujet: Re: partage simplicité volontaire =3   partage simplicité volontaire =3 - Page 4 Icon_minitime4/1/2012, 11:43 am

Maison Es-Cargo
Une maison enfouie dans le paysage

Depuis qu’elle est toute jeune, Hélène se passionne pour le dessin de maison. C’est vers 15 ans qu’elle réalise son premier plan de maison, qui ressemblait aux forts que les premiers colons construisaient. Puis un jour, elle découvre que des gens ont déjà eu l’idée d’habiter une serre et d’enfouir celle-ci, sauf pour la façade sud, ce qu’on appelle un « earthship », ou vaisseau terrestre. C’est Michael Reynolds qui est l’inventeur officiel de ce concept architectural écologique. Après avoir fait cette découverte, Hélène a fait d’intenses recherches avant d’aller visiter le « earthship » des Potter en Ontario, ce qui a achevé de convaincre le couple que ce modèle était pour eux. C’est alors qu’ils partirent à la recherche d’un endroit où ils allaient pouvoir y construire leur nid et après d’innombrables visites, ils trouvèrent un terrain de 15 acres à Chertsey dans la région de Lanaudière ; il y a 6 ans commençait alors la construction de la première maison en pneus construite légalement au Québec.

Avant de commencer à bâtir, ils durent tout d’abord acquérir un permis de construction octroyé par la municipalité. Pour mettre toutes les chances de leur côté, ils ont fait faire les plans de la maison par Autocard, ce qui leur a permis de présenter des documents cohérents et bien réalisés pour inspirer confiance à la municipalité. Après un an de pourparlers avec les interlocuteurs responsables, ils ont réussi à faire changer les règlements de construction pour réaliser leur projet. Chose intéressante, à l’heure actuelle, il existe seulement deux municipalités au Québec dans lesquelles il est considéré légal de construire une maison en pneus : à Chertsey et à St-Jean-de-Matha. Ces amendements à la loi ont été formulés suite aux démarches intentées par des autoconstructeurs qui désiraient utiliser cette technique.

Maintenant, pour mieux imaginer comment une maison peut être construite avec des pneus, voici une découpe latérale du plan de la maison :


En fait, les pneus sont placés en quinconce pour créer la structure de la maison, pour ériger les fondations et les murs. L’intérieur et les interstices sont remplis de cob, qui est un mélange d’argile, de terre, de paille et d’eau. La finition est réalisée avec un enduit à la chaux qui contient une pigmentation pour donner de la couleur aux murs. Opter pour cette structure peu conventionnelle que sont les pneus comporte des avantages indéniables au plan environnemental, car cette matière de ne décompose pas ; il s’agit d’un déchet à perpétuité. Lui donner une autre fonction est donc une façon de le revaloriser. Cela représente également des avantages au niveau du portefeuille, car les pneus leur ont été donnés par Recyc-Québec, qui en font même la livraison gratuitement. Cette institution québécoise a d’ailleurs été spécialement créée pour le recyclage des pneus, à la suite de l’important incendie de trois millions de pneus usés à St-Amable en 1990 qui avait causé des dommages environnementaux irréversibles.

La maison d’Hélène et Alain n’a pas de particulier que sa structure en pneus, le toit végétal où pousse différentes plantes indigènes et la toilette à compost qu’utilise le couple. Elle est également autonome au niveau du chauffage, de l’électricité, et de l’eau potable. Elle n’est donc pas connectée sur le réseau d’Hydro-Québec. Le principe d’un « earthship » vise à enfouir la maison dans une pente, c’est-à-dire que ses côtés nord, est et ouest ne sont pas exposés aux intempéries. Cette disposition particulière permet de profiter au maximum de l’énergie solaire passive, donc de constituer une source de chaleur intéressante.

Pour ce qui est du chauffage, Reynolds estime que les maisons « earthship » n’ont normalement pas besoin de système de chauffage d’appoint, car l’utilisation du solaire passif serait suffisante. Sauf que M. Reynolds vit au Nouveau-Mexique et il n’est pas confronté aux -25 degrés Celsius de chez nous ! Pour palier le manque à gagner, Hélène et Alain ont opté pour un foyer de masse de type rocket stove (voir article sur la maison en cob), qui est beaucoup plus efficace qu’un foyer de masse conventionnel. Dès qu’on allume un feu, la chaleur se fait sentir presqu’instantanément. Et comme tout foyer de masse, celui-ci mise sur la masse thermique pour emmagasiner la chaleur. L’idée d’enfouir la maison n’y est pas pour rien : cela fait en sorte que la masse thermique est constituée du sol dans un rayon de 15 pieds autour de la maison. L’effet de la chaleur emmagasinée dans toute cette masse peut être comparé à la géothermie passive. En circulant dans la terre, la chaleur agit de la même manière qu’un plancher radiant. Le foyer de masse est donc le seul système de chauffage qui est utilisé pour la maison.

Pour subvenir à leurs besoins en électricité, ils ont installé trois panneaux solaires de 110 volts, qui leur permettent de charger 600 ampères de batteries. Cette production énergétique est trop limitée pour fournir des appareils énergivores tels qu’un réfrigérateur ou une sécheuse. C’est pourquoi aucun système vital ne fonctionne à l’électricité, sauf pour brancher leurs ordinateurs et pour l’éclairage. À cet effet, ils utilisent des lumières Dell 12 volts qui ont une très faible consommation. Ils cuisinent sur le foyer de masse et dans le four à pain et n’ont pas de réfrigérateur. Ils utilisent un vieux congélateur qui fonctionne uniquement avec de la glace. En hiver, ils la fabriquent eux-mêmes en faisant simplement geler de l’eau à l’extérieur et en été, ils mettent de l’eau à glacer dans le congélateur d’un ami. Pour l’eau chaude, ils utilisent un chauffe-eau sur demande au propane.

Hélène et Alain se passionnent également pour la permaculture. Déjà, habiter dans une serre leur permet de faire pousser de la nourriture à l’intérieur de leur maison au niveau de la façade sud. D’ailleurs, lorsque nous avons visité la maison, des citrons mûrs pendaient au bout des branches d’un citronnier ! Pour le design du terrain, ils ont suivi les enseignements de Bill Mollison et de Sepp Holzer, l’un père de la permaculture et l’autre rendu maître dans l’art de pratiquer cette agriculture pérenne. Ils essaient de faire pousser une bonne partie les légumes dédiés à leur consommation et planifient prochainement la construction d’une serre pour allonger la période de culture.

Nous avons demandé à Hélène ce qu’elle recommande à de futurs autoconstructeurs. Selon elle, la clé est de commencer petit et d’habiter le lieu rapidement. Au début de leur expérience de construction, ils habitaient au village de Chertsey, à 15 minutes du chantier. Ils devaient faire le voyagement matin et soir et se sont rendu compte qu’ils perdaient beaucoup trop de temps. Ils ont ainsi construit un abri temporaire durant la première année, qu’ils ont habité de juillet à novembre avant de passer l’hiver dans la seule pièce construite alors. Malgré tout, Hélène conseille également de prendre le temps de bien planifier son projet. Et surtout, elle souhaite dire aux futurs autoconstructeurs de penser leur maison pour eux. Dans le bâtiment conventionnel, les entrepreneurs conseillent souvent de construire en entrevoyant déjà la revente. Cela peut être dissuadant pour des gens qui souhaitent expérimenter des méthodes de construction écologiques alternatives, d’où sa recommandation de foncer et de faire les choses pour soi. Car souvent, lorsqu’on construit sa maison soi-même, on l’habite pour la vie
Habitat éco-responsable
La maison d’Hélène et Alain est la première et la seule maison en pneus construite au Québec. Inspirée du modèle "earthship", la maison Es-cargo est complètement autonome au plan de l’électricité, du chauffage et de l’eau potable. Nous avons rencontré Hélène Dubé, autoconstructrice et copropriétaire de la maison pour en faire la visite.

a voir photos et plus ici
http://www.es-cargo.qc.ca/
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photos
http://www.es-cargo.qc.ca/commun/2010/index.html
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MessageSujet: Re: partage simplicité volontaire =3   partage simplicité volontaire =3 - Page 4 Icon_minitime20/3/2012, 8:52 pm

bonsoir a vous dans le concept simplicité volontaire l économie j ai intégré les coupons rabais

voici le post

http://www.passiondonalda.com/t1709-accroc-au-coupons-et-aux-speciaux


et le troc et glanage

http://www.passiondonalda.com/t1560-bienvenue-au-freegans-post-pour-vous-pour-partager-et-plus


aujour dhui j ai été a la friperie de lécole

j ai acheter 2 pantalon
2 pantalon court au genoux
2 blouse
1 chandail
1 sac le tout 2.00$ bien contente des mes achats du nouveau linge pas cher bonne lecture au plaisir de lire vos partages partage simplicité volontaire =3 - Page 4 580926 partage simplicité volontaire =3 - Page 4 703861
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MessageSujet: Re: partage simplicité volontaire =3   partage simplicité volontaire =3 - Page 4 Icon_minitime18/10/2012, 7:14 am

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MessageSujet: Re: partage simplicité volontaire =3   partage simplicité volontaire =3 - Page 4 Icon_minitime19/10/2012, 2:12 am

espoir a écrit:
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bie nvenue j adore partager avec vous tous partage simplicité volontaire =3 - Page 4 457125 partage simplicité volontaire =3 - Page 4 830754 partage simplicité volontaire =3 - Page 4 829279
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MessageSujet: Re: partage simplicité volontaire =3   partage simplicité volontaire =3 - Page 4 Icon_minitime

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